C'est de l'amour-humour qu'il s'agit!

Il y a peu de temps sortait un film intitulé "qui a besoin d'être aimé?" relatant l'histoire de la rencontre entre un homme (Thierry Bizot ) et la foi. C'est comme ça que l'amour l'a "harponné"!

A cette question que pose le titre du film, personnellement, je réponds sans hésiter "présente!"

Savez-vous que, embusqués dans les recoins de notre vie (a priori) ordinaire, des clins d'oeil à notre besoin d'être aimés se révèlent avec humour?

Le matin, au petit déjeuner...

Pendant les tâches ménagères...

 

 

En triant son linge...

 

 

 

En dégivrant le frigo....

 

 

 

En rangeant le frigo...

 

 

 

En arrosant les plantes...

 

 

 

En dégustant une salade...

    ou le plat principal... 

 

Et même un dessert très anodin...

 

 

Et puis, en ouvrant le placard sous l'évier, on constate que les

souris se sont mises de la partie!

 

 

 

Tout comme l'innocent chiffon à poussière que l'on a négligemment posé un instant...

 

   pour faire la vaisselle.... 

 

 

Après s'être "amusé" à l'intérieur, on a envie d'une petite balade... on en profite pour soqrtir les poubelles...

 

 

 

 

 

En route pour la promenade!

 

 

 

 

 

 

Même s'il pleut, d'ailleurs!

 

 

 

Mais c'est pas tout ça! Il est bon de "cocooner" chez soi tout de même! En entrant, on dépose sa veste...

 

 

 

Et l'on s'accorde un moment de détente bien mérité!

 

Le vertige que provoque un ciel immense...  les grandes étendues où l'horizon semble se confondre avec lui...
Il n'y a que les oiseaux pour avoir apprivoisé cet infiniment bleu, sans se sentir perdus au milieu de ce vide sans repères!

En haut, le ciel, en bas les mers, les océans. Même sentiment d'infini, même sensation de vertige lorque j'y suis immergée!
D'où vient cette impression que je vais me faire avaler par une sorte d'Ogre aussi géant que l'Univers?!

Il me suffit de me retrouver au milieu d'un champ exempt d'arbres pour éprouver une angoisse irraisonnée: il y a le champ, vaste et nu, m'entourant à perte de vue, puis le ciel, pareillement dépourvu de repères, tout autour du champ, et de mon corps, ainsi exposé à l'Infini!
Je retrouve cette curieuse sensation lorsque je côtoie un énorme appareil, style avion, hélico (je n'en ai pas cotoyé bien plus, en même temps!)... et depuis peu, cette impression m'étreint parfois lorsque je monte sur un manège qui prend de la hauteur!
Il y a à la fois le plaisir éprouvé d'être "en plein vol" et l'angoisse d'être "exposé", "à la merci de"... mais de quoi?! Je l'ignore, c'est bien ça le pire!

J'ai déjà vu des personnes paniquer à l'idée de s'approcher d'une rembarde un peu élevée, et je n'en suis pas là, car j'arrive à surmonter mon appréhension dans un cas similaire. Il n'empêche que l'angoisse, même diffuse, est là: je peux l'identifier même sije la trouve injustifiée!
Pourtant, j'aime la beauté de ces étendues aux mille reflets et couleurs changeantes, leurs reliefs faits de vagues ou de nuages aux formes insolites, l'herbe ondoyante des prairies... tout ceci est un spectacle qui n'a pas de prix pour les yeux, mais il me fait aussi me sentir toute petite (trop), tellement qu'une peur d'enfant se glisse dans mon coeur: celle de n'être pas protègée de l'Ogre qui rôde!